Le dispositif est celui d'un jugement qui se tient devant Jupiter et une cour divine composée des trois esprits de Godefroi de Bouillon, François Ier et Marguerite de Navarre. Il s'agit de savoir quel sort réserver au duc de Guise, alors mourant. Viennent successivement présenter leurs points de vue l'allégorie de la Terre, qui défend l'idée qu'il doit rester en vie, et celle du Ciel partisan de la mort du Duc dans la mesure où elle lui permettrait de rejoindre les "divins sejours" tandis que ses fils guerriers continueraient à assurer sur terre la survie de sa partie corporelle en servant loyalement la couronne de France. Ce sont finalement les arguments du Ciel qui l'emportent.
Conformément aux principes de la base, nous n'intégrons dans le réseau du texte que les personnes ayant vécu au XVIe siècle et ne créons donc pas de fiche spécifique pour Godefroy de Bouillon (XIe siècle).