Quoiqu'elle porte la date de 1537, cette édition est postérieure à l'édition lyonnaise de Juste, 1538. Il s'agit de la deuxième édition Longis (et quatrième de l'œuvre). Elle est reconnaissable à :
- ses caractères romains,
- la numérotation de ses feuillets en deux séries de 145 (livres I et II) puis 113 (livres III et IV)
- la présence en liminaire
- de la traduction française du prologue du Courtisan
- d'un nouveau huitain signé par Jean Chaperon qui réagit à la publication de l'édition Juste
- la présence de l'intégralité du livre II, plus ou moins gravement tronqué selon les états, mais toujours incomplet dans la première édition.