Commentaire
La "dame" à laquelle Tyard dédie sa traduction n'est pas clairement identifiée. Il pourrait s'agir (sans certitude) de Marguerite de Bourg, même si la référence à la "jeunesse" de la destinataire ne correspond pas à l'âge de cette savante lyonnaise au moment de la publication et pourrait engager à reconnaître plutôt sa fille, Marguerite Bullioud.