Cette œuvre est mentionnée par Jean de La Péruse (mort en 1554) dans une Ode à Jean Boiceau de La Borderie. L'existence d'une édition de 1555, mentionnée par Du Verdier et plusieurs bibliographes à sa suite, est donc possible mais elle est aujourd'hui perdue. Le texte est réédité dans un recueil de 1572, La gente poitevinrie, avec d'autres œuvres en poitevin.