Commentaire
l'un des "medecins bons zelateurs du bien publiq", il est celui qui traduit "le second de l'art curative à Glaucon, auquel est traictée la matiere des tumeurs contre nature, et des apostemes", l'une des publications "desquelz translateurs le labeur [...] semble non indigne de louange [mais] n'estoient suffisantz [car] ceulx qui les avoient traducitz avaoient laissé leur entreprinse imparfaicte".