Ces jours passez, quatre dents tu avoys,
O Elia, si j’en ay souvenance.
Trois foys la toux advenir tu te voys,
Dont la premiere a heu ceste puissance
Que de deux dents t’a osté jouyssance.
L’aultre toux vient soubdainement t’abatre
Les autres dents qui deux restoient de quatre.
Or tousse donc sans plus t’espouventer :
La tierce toux en vain te vient combatre
Car tu n’as dent qu’elle te puisse oster.