L’un dit qu’il doibt à
vostre majesté
Corps, cueur et biens, ame, esprit et courage :
Un autre dit qu’à la sublimité
De vous, espritz doibt foy, faveur, hommage ;
Ha je vous doy,
Monseigneur, dadvantage !
Car ce que j’ay en ce monde terreste
Prouvient de vous, tout je vous doi de reste.
Parquoy ma muse en voz vertus luysante,
Vous congnoissant comme Seigneur celeste,
Ce peu qu’ell’ a treshumblement presente.