Tu dis tousjours que libre tu veulx estre,
Et tel estant que tu seroys heureux,
Mais le moyen ne t’en peult apparoistre
Quoy que bien fort tu en soys desireux :
Quand de putains ne seras amoureux,
Quand le vin plus ne troublera ta teste,
Quand de ton chat ne me feras plus feste,
Quand plus autruy ne blasmeras, ne moy,
Et que changé auras ce poil de beste,
Tu seras lors aussi libre qu’un Roy.