Tu dis, amy (ce que je trouve estrange)
Qu’aux anciens poetes seulement,
Qui sont ja morts, il fault donner louange
Veu que leurs dicts sont rimez doctement.
Or je ne veulx, par ton enseignement,
Des trespassez la louange encourir
Car je n’ay pas, selon ton pensement,
Encor pensé (que je sache) à mourir.