Si mort estoit des letres l’excercice
Qui les servants de Pallas faict florir,
Morte vertu, on priseroit le vice
Qui faict le corps avec l’ame mourir.
Pallas craignant un tel mal d’encourir
Et pour plus fort accroistre sa puissance,
De jour en jour faict nouvelle accointance
De gents qui sont sages et bien apris,
Entre lesquelz (
Robert) ta congnoissance
Par hault sçavoir los immortel a pris.