Ne pense pas que separation
De noz deux corps, la vifve amour efface,
Car j'ay vers toy autant d’affection
Comme estant pres de ta riante face.
Je ne dy pas que presence ne face
Croistre le feu par beaulté souveraine,
Mais le bon cueur qui en moy prent sa place,
Vivra toujours du souvenir d’Helaine.