Le perroquet de la belle Corine
En son langage avoit tant bonne grace,
Mais je suis seur que cil de
ma Cousine
En sa voix begue et en sa langue grasse,
Parlant, chantant, plus de deux fois le passe.
Or quant à moy cela n'est de merveille
Car
ma Cousine en sa bouche vermeille,
En sa main docte et en sa douce voix,
En sa beauté et grace nompareille
Surpasse bien la Corine trois fois.