Ce dizain ne figure pas dans les premières éditions du Theatre des bons engins. Elle se trouve au dernier feuillet de l'édition parisienne Groulleau, 1548, avant d'être réintégrée dans le corps du recueil dans l'édition Paris, Groulleau, 1551, en dernière position. Il n'est pas impossible que La Perrière en soit l'auteur mais l'on ne peut avoir une complète certitude à ce sujet.