Aucun exemplaire de l'édition Lyon, Claude Marchant, 1552 (USTC 51041) n'est localisé, c'est la raison pour laquelle nous ne lui consacrons pas de fiche.
L'édition de 1559 remplace les quatre pièces qui suivent la traduction de Caton par la traduction d'un poème de Beroalde.
À partir de l'édition de 1567, se trouvent également ajoutés un sonnet liminaire comportant le nom de François Habert en acrostiche ainsi que trois cantiques placés à la fin de l'ouvrage. Du fait de ces modifications, alors même que cette publication est postérieure à 1560, nous lui consacrons une notice. Il existe au moins trois rééditions plus tardives de cette version de 1567 :