À l'été 1545, la faculté de théologie de Paris censure deux traités en latin qu'il avait fait paraître trois ans plus tôt, l'un sur les lettres de Saint-Paul, l'autre sur l'herméneutique sacrée (voir Boëch et Gillot en bibliographie, p. 223-224). Également soupçonné de complaisance à l'égard des idées religieuses nouvelles pour avoir conservé dans sa bibliothèque des pamphlets calvinistes et luthériens.
À ne pas confondre avec son homonyme (et peut-être parent) enquêteur au baillage de Chalon en 1576, ayant siégé aux états généraux de Blois.