Traducteur du grec.
À ne pas confondre avec son neveu homonyme, Guillaume Le Blanc le jeune, évêque de Grasse et de Vence et poète néo-latin (1561-1601). Pour l'évêque de Toulon, nous conservons en forme principale du nom celle que son contemporain et ami, Olivier de Magny, emploie et dont les sources plus tardives - qui optent plutôt pour leur part pour la forme francisée "Le Blanc" ou "Leblanc" - s'accordent à considérer qu'elle devait être la forme initiale de ce patronyme d'origine italienne.