L’autre jour, une bonne dame
M’envoya de beaux curedens.
Lors, je cuiday que celle femme
Pensast de curer au dedans.
J’en parle à gens bien entendans,
Qui m’ont dit qu’il ne faut cuider :
Car tous, s’ilz ne sont jeunes d’ans,
Ayment mieux remplir, que vuider.