Tu as esté tresaggreable au pere :
Tu es au filz, apres luy, encor’ cher :
Est ce faveur de Fortune prospere
Qui de
deux Roys t’a peu faire approcher ?
On ne sauroit cela te reprocher :
C’est la vertu conjointe au grand savoir,
Qui ce credit et bien t’a fait avoir,
Et t’a rendu digne d’y parvenir :
Et par cela il est aisé à voir,
Que tu es fait pour Roys entretenir.