Fille de Roy, fille qui fais renaistre
Le pere en meurs, esprit, grace et hautesse,
Qu’est il besoing que pour luy doives estre
Si longuement en habit de tristesse ?
Ne te deux plus,
souveraine Princesse,
Veux tu porter de toymesme le deuil ?
Attens le jour que le celeste veuil,
Apres cent ans, avec luy te rassemble :
Alors estant ton corps souz le cercueuil,
Un deuil sera de toy et luy ensemble.