Je l’ay promis, il faut que je le tiene,
Et n’ay point peur que matiere me faille :
De me payer ce pendant vous souviene :
Car en baillant je veux que l’on me baille :
Je payeray tout contant, ne vous chaille :
Ne pensez point que soye mensonger :
Mais laissez moy encor’ un peu songer,
Et vous verrez que mon cas ira bien,
Si je le puis d’un seul vers allonger :
Ça baisez moy, il ne s’en faut plus rien.