Mil escuz d’or à la couronne
Pour voz estreines je vous donne :
Du pois je n’en suis pas trop seur :
Car ilz n’ont pas grand’ espaisseur :
Mais je vous jure par Saint G’orge,
Qu’ilz sont tous venans de la forge :
Et si n’en ay point de meilleurs,
Sinon qu’ilz me vienent d’ailleurs :
Mais toutesfois, quoy qu’il en aille,
Vous savez bien qui les vous baille.