Vostre Printemps est florissant assez,
Dieu doint qu’ayez un plantureux Esté,
Et des doux fruiz en l’Autonne amassez
L’Hyver jouir avec joyeuseté ;
C’est pour le corps qu’ay cela souhaitté :
Quant à l’esprit, il n’en a point mestier
Pource qu’il est, sera et a esté
En son Printemps perdurable et entier.