Tous les malheurs que j’ay pour l’amour d’elle,
De la laisser ne me sauroient contreindre
Car mon desir, en la voyant si belle,
Reprend vigueur quand il se veut esteindre.
Du dieu d’Amours seulement me veux plaindre,
Qui souffre et veut qu’un Amant convoiteux
Tousjours pretende où il ne peut atteindre :
Voyla pourquoy mon cueur est despiteux.