Nom donné à un homme de la cour manifestement trompé.
Les identifications sont données par les mss. Soissons 201 (marquis de Rothelin) et Rasse des Neux (Julien de Clermont). La seconde paraît à première vue la plus vraisemblable : la femme de Julien de Clermont, Claude de Rohan-Gié, a bien la réputation d'être une des maîtresses de François Ier et leur mariage, contracté en janvier 1542, est tout récent au moment de la composition du texte dans lequel on trouve cette allusion (entre février 41 et mars 42). Toutefois, il n'est pas impossible non plus que l'attaque puisse également concerner le couple du marquis et de la marquise de Rothelin, sœur de Claude de Rohan-Gié. Nous prenons donc le parti de ne pas trancher entre ces deux possibilités.