Sous ce titre se trouvent réunies deux épîtres cinglantes, l'une traduite d'Adrien Turnèbe (voir œuvre liée), l'autre originale (Le Poète courtisan), qui ont en commun de critiquer les auteurs qui ne publient pas leurs œuvres et dont la renommée, loin d'être fondée sur un travail exigeant, est surtout liée à leur maîtrises des codes de la sociabilité aulique.