Fontaine Charles,
A l’amy bien aimant, et bien aimé, sur ce que l’on doit vivre joyeusement en ce monde, sans se tourmenter le cœur et le corps après les biens et honneurs lesquels il faut laisser,
« Vivons, vivons joyeusement, » < s'adresse à > Brinon Jean II (1520-1555)