On connaît deux témoins manuscrits de cette version du troisième livre du Courtisan :
Cette traduction est très littérale et elle constitue une version préparatoire de la traduction définitive assumée par Jacques Colin. Cet état de texte a semble-t-il circulé au titre d'échantillon de son travail en cours. Ce n'est généralement pas celui que l'on trouve dans les imprimés.
Cette version de traduction a pu être faussement attribuée à Mellin de Saint-Gelais (Molinier, Klescewski, Costa, Defaux etc.) mais l'hypothèse ne tient pas (voir Sicard et Joubaud, à paraître).