Sur la page de titre, on lit de brèves formules en hébreu, grec, latin ("Quasi solstitialis herba") et français ("Naistre un, l'aultre n'estre").
La pièce principale est suivie d'une série de deux pièces en hébreu, deux pièces en grec, deux pièces en latin et deux pièces en français (voir textes en appendice), qui forment une section intitulée "Epitaphes en quatre langues" (EPITAPHIA. בארבעה לשונות). Celle-ci s'achève sur la formule et les vers suivants :
Plus tost contendre que suyvir.