Lieutenant de cent hommes d'armes en 1532.

Selon Pierre d'Hozier (voir bibliographie, 1659), il s'agit du cadet de Humbert de Chantemerle seigneur de La Clayette qui transmet ensuite ce titre à son propre aîné, Marc. Cette seigneurie ne semble donc pas être associée à Philippe, si bien qu'on s'explique mal pourquoi Antoine Du Saix le nomme pourtant Philippe de La Clayette en 1532. Le fait que dans ce même texte de L'éperon de discipline le titre de seigneur de Vougy soit également donné à Philippe et qu'il ne semble pas y avoir dans cette famille à l'époque considérée d'autres personnes portant le même prénom engage tout de même à penser qu'il doit bien s'agir du même individu. Du reste le fait que le demi-frère de Philippe et Humbert, également prénommé Marc, soit communément appelé "bâtard de la Clayette" permet de supposer que ce nom est peut-être en usage pour toute la fratrie, même si la seigneurie n'est effectivement transmise que d'aîné en aîné : cela resterait toutefois à confirmer par un historien spécialiste des modes de transmission des noms.