Commentaire
On a pu considérer (Saulnier et éd. Barataud-Trudeau, Paris, Classiques Garnier, 2006, p. 225) que ce quatrain constituait la première partie d'un douzain (voir le huitain "à rapprocher" pour la suite du texte). E. Rajchenbach (Genève, Droz, 2006), se fondant sur les schémas de rimes et la composition typographique, choisit plutôt de lire le quatrain et le huitain comme deux pièces séparées.