[Liminaire] Le Fèvre François (médecin), Aux chirurgiens, « Considérant que (comme tresbien dit Platon) l'homme n'est pas nay pour luy seul, mais aussi pour sa patrie et les siens... » in Le Fèvre François (médecin),
Les trois premiers livres de la chirurgie d'Hippocrates. Des ulceres. Des f...,
Paris,
Kerver Jacques I,
1555, f. b vj v° - c iij v°