[Liminaire] Du Bellay Joachim, Au seigneur J. de Morel Ambrunoys, « Je n'avoy jamais experimenté la doulceur des bonnes lettres (cher amy MOREL) sinon depuis que la fortune m'a voulu preparer tant de calmaitez... » in Du Bellay Joachim,
Le Quatriesme livre de l'Eneide de Vergile, traduicte en vers Francoys. La ...,
Paris,
Sertenas Vincent,
1552, p. 3-12