Célèbre la paix de Crépy-en-Laonnois, mettant un terme à la neuvième guerre d'Italie et conclue par François I^er et Charles Quint en septembre 1544.

Cette œuvre de circonstance est également rééditée chez Benoit Rigaud en 1570 puis en 1577 [USTC  61960]. La pièce est alors reprise sans être rattachée à l'événement initialement célébré : les 16 derniers vers (2 dernières strophes), qui rattachent plus spécifiquement la pièce à la circonstance de 1544 sont simplement supprimés, de même que la devise finale "Plus que moins", qui permettait d'identifier l'auteur du poème. Il est possible que la première de ces rééditions remploie le texte ainsi décontextualisé à l'occasion de la paix de Saint-Germain et la seconde pour célébrer la paix de Bergerac, les guerres civiles s'étant substitué dans l'actualité aux guerres d'Italie. Hors corpus pour notre base, ces rééditions ne sont pas référencées ici.