Il existe à la même période plusieurs Jean Le Coq, notamment :
un chanoine de l'église de Notre- Dame de Paris, curé de Saint-Eustache, protégé par Jean Du Bellay lorsqu'il était évêque de Paris (ID. 37607) ; un jeune imprimeur-libraire de Troyes (ID. 122) et même un musicien de FerrareSi l'identification au premier paraît la plus vraisemblable, on ne peut toutefois pas déterminer avec certitude si notre Jean Le Coq se confond (ou pas) avec l'un de ces trois personnages. Ainsi, le lieu auquel il est rattaché par le nom latin qui lui est attribué (Andelius) pourrait référer à la rivière de l'Andelle ou à la ville d'Andely en Normandie, voire à celle d'Andelot, en Champagne. On peut également considérer que la présence de liminaires de Le Coq dans un ouvrage de Claude Colet Champenois, auprès de pièces de Philibert de Vienne, originaire de Troyes ou de vers adressés à Renée de Rieux, marquise de Nesles, parente des Coligny d'Andelot tendrait à renforcer la deuxième hypothèse (imprimeur-libraire champenois).