Issue d'une famille d'origine italienne installée en Avignon dans la seconde moitié du XVe siècle, puis à Alès à partir de 1516, et dont de nombreux membres sont acquis aux idées de la Réforme. Probablement réformée elle-même. Mariée à :
De sa première union, elle a au moins une fille, Marguerite d'Alayrac, qui se marie en 1561 à l'aîné des fils de Jacques de Rochemore, Thomas.
La Croix du Maine indique que Marguerite de Cambis est également la traductrice d'une épître de Trissin sur la vie que doit tenir une dame veuve, ouvrage qu'il dit paru à Lyon, chez Rouillé en 1554. S'il paraît avéré que cette traduction a bien existé (Marguerite Cambis évoque elle-même ce travail, voir texte ID 38776), en revanche aucun exemplaire de l'édition mentionnée n'est connu. C'est la raison pour laquelle nous ne lui consacrons pas de fiche ici.