Pour un usage éclairé de la base Scripta Manent

A. L'essentiel à grands traits

Scripta Manent est une base de données qui met en relation des livres et des gens pour la période 1530-1560 en France. Son premier but est d'indiquer qui parle à/de qui dans les ouvrages imprimés de la période.

Son état est évolutif et les données qui y sont présentées valent pour ce qui a déjà été collecté, vérifié et renseigné dans la base au moment de la consultation : les résultats de recherche peuvent donc ne pas être complets et doivent être pris pour ce qu'ils sont, le reflet à un instant t d'un recensement effectué dans les limites d'un cadre particulier, dont les principes sont précisés dans les différentes pages d'explications consultables autour de la page d'accueil du site, recensement qui, par ailleurs, est toujours en cours d'enrichissement. Il s'agit d'une forme de publication de travaux de recherche qui, toute numérique qu'elle soit, doit être considérée comme le serait un livre imprimé, dans le respect des auteurs qui en assurent la conception et la rédaction : utilisées dans le cadre d'autres travaux de recherche, ses notices doivent donc être explicitement citées, sous la forme d'une référence bibliographique précise et claire, permettant à qui le souhaiterait de retrouver aisément la page concernée.

1. 2013-2023 : d’une base de thèse à une base publique

Le projet est issu du travail préparatoire de Claire Sicard pour sa thèse, Poésie et rapports sociaux autour de la Cour de France (1538-1560), soutenue à l’Université Paris-Diderot (aujourd'hui Paris-Cité) en 2013. Il s’agissait alors de reconstituer les réseaux – réels, fantasmés, réinventés – et les milieux dans lesquels évoluent les poètes imprimés en France dans la période considérée, en recensant les pairs et les protecteurs que les auteurs désignent ou auxquels ils s’adressent dans leurs textes. Le fichier initial cataloguait prioritairement les noms figurant explicitement

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• d’une part dans les œuvres poétiques et dans leurs pièces d’escorte (que celles-ci soient en prose ou en vers),
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• et d’autre part dans les poèmes accompagnant la publication d’œuvres en prose.
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Le postulat de départ était que la diffusion imprimée, autrement ou davantage que la circulation manuscrite, pouvait correspondre à une mise en scène des relations sociales à l’usage de tiers, tout autant qu’à la fixation, à une date donnée, d’un état, réel ou rêvé voire arrangé, du réseau de sociabilité de ces auteurs.

Depuis, l’empan chronologique de la base a été étendu – pour l’instant aux années 1530-1560. Sont désormais pris en considération les noms de personnes de l’entourage des auteurs (parents, voisins, amis, condisciples, etc., même s’ils ne sont pas auteurs et/ou puissants eux-mêmes), de même que ceux d’auteurs renommés du XV^e siècle. Les références plus allusives (évocation) sont à présent cataloguées. Plusieurs œuvres en prose, qui n’étaient jusque-là retenues que parce qu’elles étaient escortées de pièces de vers, ont été intégralement dépouillées et traitées pour elles-mêmes. Certaines autres, publiées avec des liminaires et/ou post-liminaires en prose, ont été intégrées dès lors qu’elles comportent des références à des contemporains. Par rapport à la base initiale, un intérêt renforcé pour l’histoire du livre et la bibliographie matérielle permet de mettre plus aisément au jour des réseaux d’atelier, autour d’imprimeurs et de libraires.

Tous ces partis pris qui ont élargi et infléchi le projet initial ont un point commun : il s’agit de traquer dans ces textes publiés il y a un demi-millénaire, au cours du premier siècle du monde de l’imprimé, la présence de contemporains de l’auteur, ou à la rigueur de personnes d’une génération antérieure dès lors qu’elles constituent des références historiques et/ou culturelles signifiantes. C’est ce qui a conduit à adopter, en guise de nom et de programme de la base, la locution latine « Scripta Manent » : « les écrits restent ».

2. Des données toujours en cours d’enrichissement

Au moment où nous mettons en ligne Scripta Manent (printemps 2023), le tiers environ des données de la base de thèse initiale, reprises et déjà copieusement enrichies, ont été versées dans la base publique. Même lorsque cette conversion sera achevée, les données du catalogue ainsi établi ne seront toujours pas exhaustives. Elles continueront donc à être régulièrement complétées,

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• soit par l'ajout de nouvelles fiches,
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• soit par l'enrichissement des notices déjà publiées.
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Afin que les utilisateurs aient la plus juste idée de l'état des données qu'ils consultent, un statut apparaît au bas de chaque notice et indique l'avancée du travail (voir le détail dans le point D). Veuillez noter que, pour les notices de personnes, cette information ne concerne que la partie strictement biographique des fiches (bloc \"identité\", encadré d'un liseré de couleur) : même lorsque cette notice est terminée, les relations de la personne considérée avec d'autres intervenants, les listes de ses œuvres, comme celle des textes où elle figure peuvent ne pas êtres complètes. De fait, le recensement de ces données correspond seulement à ce qui a été enregistré dans la base à l’instant t de la consultation.

Pour l’heure, Scripta Manent présente des notices, complètes ou non, pour :

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• [nb à récupérer dans Heurist] personnes
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• [nb à récupérer dans Heurist] œuvres
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• [nb à récupérer dans Heurist] éditions
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• [nb à récupérer dans Heurist] texte
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[Intégrer si possible ici un widget avec le report de ces données, depuis la base]

B. Plus précisément : le corpus, délimitation du cadre de Scripta Manent

Initialement fixées à la période allant de 1538 à 1560 (c’est-à-dire, à grands traits, de la publication des Œuvres de Clément Marot, à celle de l’ouvrage de même titre de Pierre de Ronsard), les limites temporelles de la base se sont, depuis 2014, ouvertes à des ouvrages publiés dans les premières années de la décennie 1530. Toutefois cette ouverture est encore modeste et les données concernant le début de la période traitée – 1530-1537 – ont été moins systématiquement collectées que celles qui concernent les années suivantes. Dans certaines notices « Œuvre » il peut arriver qu’un commentaire indique sommairement des éditions publiées en dehors des limites temporelles de la base (avant 1530 ou après 1560) et auxquelles aucune fiche propre n’est consacrée.

À terme, nous souhaiterions étendre cet empan chronologique. Pour ce faire, et dans un ordre de priorité, les objectifs que nous nous fixons pour les prochaines années sont les suivants :

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• compléter les publications non encore recensées pour la période 1538-1560
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• compléter les publications non encore recensées pour la période 1530-1537
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• ouvrir insensiblement la base aux périodes antérieures, des incunables à 1530
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• ouvrir insensiblement la base aux dernières décennies du XVI^e siècle
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Scripta Manent concerne exclusivement les publications effectuées dans le royaume de France. Cela signifie que, dès lors qu’elles ont été imprimés à Anvers, Bâle, ou Genève, mais aussi Arras, Besançon ou Strasbourg, par exemple, se trouvent a priori exclues de la base :

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• certaines rééditions d’œuvres faisant pourtant l’objet d’une notice,
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• certaines productions exclusivement diffusées hors du royaume qui peuvent toutefois avoir été écrites par des auteurs identifiés dans la base pour d’autres ouvrages,
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• certains textes qui mentionnent des personnes faisant elles aussi l’objet d’une notice
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• etc.
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Il s’agit donc assurément d’une limite qui a une incidence sur la justesse du réseau esquissé, lequel peut être amputé de développements instructifs, en particulier pour les Réformés. Pour des raisons matérielles de faisabilité, nous n’envisageons cependant pas pour l’heure d’élargir ces limites géographiques. En revanche, un commentaire peut parfois indiquer dans certaines notices, l’existence de ces publications sans notices propres.

Sur le plan des modes de diffusion, il a été décidé – pour des raisons qui tiennent à la fois à l’angle adopté dans le projet initial et à un souci de complémentarité plutôt que de concurrence avec d’autres bases de données existantes ou en cours de développement – de laisser complètement de côté les manuscrits, ce champ étant d’ores et déjà traité par la base Jonas, à laquelle Pascal Joubaud et Claire Sicard contribuent par ailleurs. Pour les textes qui connaissent une diffusion à la fois manuscrite et imprimée, des liens réciproques seront ménagés d’une base à l’autre, dans une perspective d’interopérabilité afin de faciliter la circulation de l’utilisateur qui souhaiterait suivre le parcours d’un texte, indépendamment du type de support ayant permis sa diffusion.

Le parti a également été pris de ne pas intégrer à ce stade de recueils de musique imprimés à Scripta Manent. Ce choix se justifie d’abord par le fait que les pièces témoignant d’une forme de sociabilité n’y sont pas fréquentes dans la période concernée, mais aussi parce que les textes que l’on y trouve mis en musique sont rarement attribués. Enfin, ceux qui d’aventure peuvent l’être sont parfois déjà fichés soit dans la base Jonas, pour les cas de textes ayant aussi laissé des traces manuscrites, soit dans l’important Catalogue de la chanson française à la Renaissance créé par Annie Cœurdevey et intégré à Ricercar soit encore dans la base consacrée aux airs que porte et développe actuellement Alice Tacaille (Trésor des Chansons Françaises (TCF) XVI-XVII, à paraître). Plus encore qu’au niveau des textes, c’est au niveau des personnes que des liens entre ces différents projets peuvent être établis – auteurs, compositeurs, imprimeurs, libraires voire simples musiciens peuplant en effet le corpus décrit et catalogué par Scripta Manent.

Le cas le plus complexe tient sans doute à ce que l’on peut appeler les polygraphiques imprimés, ces recueils de poésie, généralement sans attribution explicite d’auteurs, qui réunissent en bouquets, Fleurs ou autres Trésors des centaines de pièces souvent courtes, de tonalité amoureuse, grivoise ou parfois satirique, qui sont reprises, complétées et transformées, au gré de rééditions diverses tout au long du siècle au moins. Prenant en considération

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• les particularités et la complexité de ce mode de diffusion très souple et mobile d’une part,
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• le fait que dans une partie importante de ces recueils aucune sociabilité explicite ne trouve à s’exprimer d’autre part
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• et enfin que le projet des Joyeuses inventions porté par Anne-Réâch-Ngô met au jour, décrit et publie déjà une partie significative de cet ensemble,
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il a été décidé de laisser de côté par principe la plupart de ces recueils. Comme pour les manuscrits et Jonas, de simples liens vers les Joyeuses inventions signaleront aux utilisateurs qu’une pièce présente dans un des imprimés recensés dans Scripta Manent se trouve aussi dans l’une des éditions du Trésor. Des exceptions sont toutefois faites à ce principe général pour le cas de polygraphiques imprimés constitués précisément autour d’une circonstance où la sociabilité est centrale et dans lesquels, à ce titre, de nombreuses personnes sont identifiables, tant du côté des auteurs participant au projet, que des protecteurs, pairs, amis ou ennemis qui peuvent y être mentionnés ou évoqués. C’est notamment le cas dans certains tombeaux ou encore certaines publications liées à des querelles, comme celle opposant Marot à Sagon ou encore la querelle des Amyes, par exemple.

En somme, la base Scripta Manent se concentre sur les ouvrages imprimés en France entre les années 1530 et 1560 et qui, pour tout ou partie, relèvent davantage d’un projet d’auteur que d’un projet d’imprimeur.

Si elle rassemble majoritairement des textes écrits en français, la base Scripta Manent intègre également des pièces latines, grecques, italiennes ou même poitevines, par exemple, et ne s’impose aucune restriction linguistique. Cependant, les ouvrages dont l’œuvre principale est écrite en français ont été traités en priorité et si le catalogue décrit d’ores et déjà en détail quelques ouvrages intégralement rédigés dans une autre langue lorsqu’ils présentent un intérêt particulier pour l’étude de la sociabilité poétique du fait de leurs auteurs, de leur sujet, de leur circonstance de publication ou de leur thème, ce n’est que dans un second temps que viendront s’ajouter à ce premier ensemble la plupart des publications dans lesquelles ne se trouvent aucun texte français.

C. Plus précisément : méthode de collecte et/ou d'établissement des données

Scripta Manent procède non pas seulement de la concaténation de données déjà établies par ailleurs mais en large partie des travaux de recherche de Claire Sicard (prosopographie, dépouillement de la sociabilité) associés à ceux de Pascal Joubaud (histoire des éditions, description de leur contenu). La méthode adoptée répond aux principes suivants :

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• les données concernant les éditions et les textes (recensement des personnes mentionnées compris) le sont majoritairement :
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  • par consultation directe d'un exemplaire au moins de l'édtion originale concernée ;
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  • lorsque cette consultation n'a pas été possible ou qu'il a été nécessaire de la compléter par la citation d'éléments fournis par des catalogues ou des publications scientifiques, les références de ces ressources figurent clairement et systématiquement dans les notices.
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• pour les fiches concernant les personnes, les différentes données (forme des noms, fonctions, éléments biographiques variés etc.) reprennent :\n
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  • d'une part les indications fournies par les textes où figurent ces personnes (graphies du nom, seigneurie, devises, abréviations du nom, fonctions, biographèmes etc.)
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  • d'autre part des éléments fournis par la consultation d'une bibliographie, de notices d'autorité ou d'archives dont les références figurent clairement et systématiquement dans les fiches
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  • concernant en particulier les fourchettes de datation de la naissance ou de la mort des personnes : lorsque ces données ne sont pas précisément établies par des sources ou des références de bibliographie secondaire, elles procèdent d'une extrapolation effectuée à partir des informations à disposition au moment de l'établissement de la notice :\n
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    • date de première publication des textes mentionnant la personne ou s'adressant à la personne manifestement en vie,
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    • précisions éventuelles sur son âge au moment où elle est mentionnée,
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    • dates des actes notariés l'impliquant de son vivant ou la présentant comme déjà morte etc.
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Plus la fourchette indiquée est large, plus l'incertitude concernant cette information temporelle est grande. Il nous est toutefois apparu qu'il était préférable de disposer de ces intervalles de datation, si amples soient-ils, plutôt que de ne fournir aucune indication chronologique, dans la mesure où, même vagues, ces données suffisent parfois à distinguer des homonymes ou à progresser insensiblement dans la connaissance des individus concernés.

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  • enfin, nous avons pris le parti de limiter au strict nécessaire les données biographiques concernant les auteurs ou les puissants bien connus par ailleurs mais d'étoffer le plus possible celles qui concernent des personnes moins renommées.
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• quel que soit le type de fiches (personnes, éditions ou textes), un statut de notice vient clairement expliciter pour le lecteur l'état des données qu'il est en train de consulter (pour le détail, voir le point D), afin qu'il n'y ait pas d'ambiguité concernant la valeur à accorder aux données qui y figurent.
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D. Plus précisément : avancée du travail et statut des notices

Une base toujours en cours d’enrichissement :

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• Statuts différenciés des notices actuelles (sens de terminé, en cours, non consulté…)
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• Des notices encore à intégrer
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• Un élargissement de l’empan chronologique (antérieur à 1530) à un horizon plus lointain
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E. Plus précisément : structuration générale de la base

Schéma de la structuration de la base

Annonce de développements détaillés sur chaque pilier, les entrées, le sens des catégories retenues.

Pour plus de détail sur chaque catégorie de données, la façon dont elles sont traitées et la manière de les interroger dans la base, voir les pages « mode d’emploi », à consulter parmi les sous-menus de la page d'accueil.