La nouvelle Juno, chrétienne et non plus païenne, représente Catherine de Médicis et s'exprime en première personne.
Une allusion au traité de Crépy, en phase de négociations mais pas encore signé, montre que le texte a été écrit peu avant le 18 septembre 1544, à un moment où Charles Quint envisageait encore de donner sa fille Marie d'Autriche au fils de François Ier, Charles d'Angoulême, avant de décider plutôt de lui promettre finalement sa nièce, Anne d'Autriche.
L'identité du "je" de l'opuscule (Juno) est spécifié par une sorte de didascalie initiale dans l'édition Paris, Jeanne de Marnef, 1546.