Habert François,
Epistre liminaire à maistre Jehan Guilloteau, demourant à Paris, par laquelle l'Autheur estudiant à Tholose, luy envoya son livre comme à son secret amy, et cousin germain,
« Le plus grand heur qui me peut advenir »
Epistre liminaire à maistre Jehan Guilloteau, demourant à Paris, par laquelle l'Autheur estudiant à Tholose, luy envoya son livre comme à son secret amy, et cousin germain