À ne pas confondre avec son homonyme et parent, pareur et écuyer consulaire, actif de 1474 à 1527.
Obtient l'Églantine aux Jeux floraux de Toulouse en 1559, la Violette en 1562, figure parmi les maîtres ès Jeux de 1570 à 1594 (voir Gélis, en bibliographie).