Sauvage François,
Le Livre pour discerner un vrai ami d'avec un flatteur [première édition de cette œuvre dans la base : 1520]
Lodé Jean,
Du Gouvernement en mariage [première édition de cette œuvre dans la base : 1535]
Collin Jean,
Le Livre de l'éducation et nourriture des enfants [première édition de cette œuvre dans la base : 1537]
Du Saix Antoine,
La Touche naïve pour éprouver l'ami et le flatteur [première édition de cette œuvre dans la base : 1537]
Collin Jean,
De la tranquillité et repos de l'esprit [première édition de cette œuvre dans la base : 1538]
Des Monstiers Jean,
Recueil des hauts et nobles faits de plusieurs femmes vertueuses [première édition de cette œuvre dans la base : 1538]
Saint-Julien Pierre de,
Instruction de réprimer courroux, et les moyens d'éviter ire [suivi de trois opuscules de Plutarque] [première édition de cette œuvre dans la base : 1546]
Pasquier Etienne,
Opuscules de Plutarque [première édition de cette œuvre dans la base : 1546]
Saint-Julien Pierre de,
Deux [Trois] opuscules de Plutarque [première édition de cette œuvre dans la base : 1546]
Sauvage Denis,
Petit opuscule des vertus et notables faits des femmes [première édition de cette œuvre dans la base : 1546]
La Tapie Jacques de,
Préceptes nuptiaux [première édition de cette œuvre dans la base : 1559]
Amyot Jacques,
Les Vies des hommes illustres [première édition de cette œuvre dans la base : 1559]
Auteur anonyme,
Preceptes de Mariage. Traduictz des opuscules de Plutarque,
« Plutarque à Polion, et Euridice Salut. Après la loy de la patrie... »
Collin Jean,
Cy commence le livre de la tranquillité et asseuerance de l'esperit,
« Plutarque salue Pacius son amy. J'ay receu bien tard ton epistole en laquelle tu me enhortoys que je te escripvisse quelque chose de la tranquillité de l'esperit... »
Du Moulin Antoine,
Plutarche. De ne prendre a usure. Traduict par Antoine Du Moulin masconnois,
« A compléter »
Du Saix Antoine,
Par quel moyen l'on peult congnoistre, et discerner ung flateur d'avec ung amy : et comment on le doibt reprendre discretement, pour son amendement, sans interest de bonne grace,
« Qui confesse, et declaire, o Antioche Philopappe, beaulcoup se aymer soymesmes, facilement chascun luy pardonne... »
Du Saix Antoine,
Traicté singulier, riche en sentences, eleguant en termes, et proffitable à lire, de l'utilité, qu'on peult tirer des ennemyz : composé en Grec par Plutarque, translaté en latin par Erasme, et mis ne langage François, par noble homme frere Antoine du Saix, Commendeur de Bourg,
« Je te veoy certes Corneille le beau, avoir esleu une maniere de vivre tresplaisante, et separée des affaire de la chosepublicque... »
Lodé Jean,
Du gouvernement en mariage,
« Veritablement les anciens appliquoient et constituoient le simulacre et statue du dieu Mercure, ambassadeur et interpretateur de la volonté des Dieux... »
Pasquier Etienne,
Dialogue de Plutarque, auquel est demonstré sil y ha quelque puissance de raison aux bestes, et lesquelles en ont le plus, ou celles de la terre, ou celles des eaux,
« A compléter »
Pasquier Etienne,
Dialogue demonstrant que les bestes brutes ont l'usage de raison,
« En verité, ô Circé, il me semble que j'ay bien aprins cela, et croy qu'il m'en souviendra à l'advenir... »
Pasquier Etienne,
Dialogue des moyens de garder la santé,
« A compléter »
Pasquier Etienne,
Du moyen de prendre utilité de ses enemis,
« Certes, mon amy Corneille le beau, je veoy que tu as esleu et choisy un estat de vie fort tranquille... »
Pasquier Etienne,
Petit commentaire de vertu et de vice, par Plutarche. Traduict en françoys par Estienne Pasquier,
« A compléter »
Saint-Julien Pierre de,
Dialogue de Plutarque, de non se courrouçer, ou de reprimer courroux. Traduict par Pierre de Saint-Julien, de la maison de Balleure,
« Sylla, et Fundain, personnages introduitz. La façon de faire des paintres me semble bonne, Fundain, lesquelz avant que parachever leurs ouvrages, ont de coustume de les contempler... »
Saint-Julien Pierre de,
Opuscule de Plutarque auquel est disputé, Assavoir si les maladies de l'Esprit tourmentent plus que celle du Corps, Traduict par Pierre de Sainct Julien,
« Homere ayant diligemment contemplé toute les sortes d'animaux, et conferé la maniere de vivre et la condition, et le naturel des uns avec celuy des autres... »
Saint-Julien Pierre de,
Plutarque, de Curiosité, traduict par Pierre de Saint Julien de la maison de Balleure,
« Ce pourroit estre chose souverainement bonne, de ne point habiter en une maison, qui n'est suffisamment ouverte... »
Sauvage Denis,
Opuscule de Plutarque, des vertueux et illustres faictz des anciennes Femmes. Proësme,
« Pensant en moymesmes des vertuz des Femmes, mon avis est moult contraire à celuy de Thucidide... »