[Liminaire] Aubert Guillaume,
Epitaphe de Marguerite de Vallois, Royne de Navarre, etc. Elle Parle.,
« La couronne, l'honneur / Les vertuz, le bonheur », f. 1 v°
[Liminaire] [Simon Sylvius dit J. de La Haye],
A tresillustre et treschrestienne Princesse, Madame la Princesse de Navarre, J. de la Haye son treshumble serviteur, souhaitte entiere prosperité,
« Plus tost verrons, ô tresillustre Princesse », f. 2 r° - 6 r°
[Liminaire] Scève Maurice,
Aux Dames des vertus de la tresillustre et tresvertueuse Princesse Marguerite de France, Royne de Navarre devotement affectionées. M. Sc.,
« Bien que je sois la plus clere d'icy », f. 6 r°-v°
[Liminaire] Marguerite de Navarre,
Marguerite de France, Soeur unicque du Roy par la grace de Dieu Royne de Navarre, au Lecteur,
« Si vous lisez ceste oeuvre toute entiere », f. 6 v° - 7 r°
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Le miroir de l'ame pecherresse,
« Où est l'enfer remply entierement », f. 7 v° - 33 v°
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Discord estant en l'homme par la contrarieté de l'esperit et de la chair : et sa paix, par vie spirituelle. Qui est annotation sur la fin du 7 ch. et commencement du 8 de l'epistre sainct Paul aux Rom.,
« Noble d'esprit, et serf suis de nature », f. 33 v° - 36 v°
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Oraison de l'Ame fidele, à son seigneur Dieu,
« Seigneur, duquel le siege, sont les Cieux », f. 36 v° - 63 v°
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Oraison à nostre seigneur Jesuchrist,
« Mon createur qui avez congnoissance », f. 63 v° - 69 v°
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Comédies bibliques,
« [Incipit non renseigné] », f. 69 v° - 177 r°
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Le Triomphe de l'Agneau,
« Tous les Esleus et Souldars du Vainqueur », f. 177 r° - 206 r°
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Complainte pour un detenu prisonnier,
« S'il est ainsi, comme tresbien je croy », f. 206 r° - 216 v°
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Chansons spirituelles [1 à 33],
« [Incipit non renseigné] », f. 216 v° - 248 v°
[Post-Liminaire] [Amour demourra le maistre],
Sonnet,
« L'Esprit de Vie en corps de Mort mussé », f. 248 v° [post-liminaire aux Marguerites]
[Liminaire] Scève Maurice,
A tresillustre et tresvertueuse Princesse Madame Jane Infante de Navarre. M. SC.,
« La Marguerite, ou la celeste Aurore », f. 249 v° [liminaire à la suyte des Marguerites]
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
La fable du faulx cuyder contenant l'histoire des nymphes de Dyane, transmuées en saulles,
« Le mal qui est l'absence de tout bien », f. 250 r° - 265 r°
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Epistre de la Royne de Navarre, au Roy Françoys son frere,
« Le serviteur, fidele renommé », f. 265 v° - 268 v°
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Epistre II envoyée par la Royne de Navarre, avec un David au Roy François, son Frere, pour ses estreines,
« David voyant que par Mer et par Terre », f. 269 r° - 272 r°
[Pièce insérée] François Ier,
Response envoyée par le Roy François à ladite Dame, avec une sainte Catherine pour ses estreines,
« Or pleust à Dieu par sa grande bonté », f. 272 v° - 273 v°
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Epistre III de la Royne de Navarre, au Roy François, son frere,
« Après la peur de quelque trahison », f. 274 r° - 277 r°
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Epistre de la Royne au Roy François son frere,
« Puis que voz yeux rempliz d'autre lumiere », f. 277 r° - 280 r°
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Epistre de la Royne de Navarre, au Roy de Navarre, malade,
« Celle qui pour eslongner vostre veüe », f. 280 r° - 281 v°
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Les quatre Dames, et les quatre Gentilzhommes,
« Est il ennuy, qui soit au mien semblable ? », f. 281 v° - 326 v°
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Comedie [des quatre Femmes],
« Tout le plaisir, et le contentement », f. 327 r° - 341 v°
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Farce de Trop Prou Peu Moins,
« Qui voudra sçavoir qui je suis », f. 342 r° - 365 v°
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
La Coche,
« Ayant perdu de l'aveugle vainqueur », f. 365 v° - 389 v°
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
L'Umbre,
« Amour en qui vertu est toute enclose », f. 389 v° - 392 r°
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
La mort et resurrection d'Amour. Vers Alexandrins,
« J'ay veu les yeux desquelz Amour cruel tyrant », f. 392 r° - 393 v°
[Pièce insérée] Auteur anonyme,
Chanson faite à une dame, sur laquelle la Royne ha fait la responce suyvante,
« Je vous supply entendez moy », f. 393 v° - 394 v°
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Responce,
« De ton œil le regard je voy », f. 394 v° - 395 v°
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Les Adieu des Dames de chez la Royne de Navarre, allant en Gascongne, à ma Dame la Princesse de Navarre,
« L'Adieu ne doit se dire tant que l'œil », f. 396 r° - 398 r°
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Enigmes,
« Deux poinsons font une pippe,L'un luy disoit : helàs, ma Damoiselle », f. 398 v°
[Post-Liminaire] Aubert Guillaume,
Chant de G. Aubert. A la louenge des deux Marguerites de Valois,
« Or ne te fault il craindre / Muse, à prendre ton vol », f. 398 v° - 400 r°